Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
il est minuit

http://kongola.over-blog.com/

17/1/19 -Vision d’un titre : « Tentative de conquête du Mozambique » - Les secrets du Vatican et de l'ordre mondial… - 144000, Des Indes, d’Occident, d’Asie, de Kush (Afrique)--> des Îles, Zelandia, d’Amérique. - Qui pourra résister au réveil mondial de l’Esprit ? -Ils ont tenté de disperser Israël, mais La Poule retrouve toujours ses poussins… - [ASHER- ZABULON-DAN-NEPHTALI-JUDA-LEVI]

Publié le 17 Janvier 2019 par FrédéricYT in UN GRAND MERCI À YAHSHUA, Le Cœur de La Prophétie

[LA MÉMOIRE] -Mère de ma grand-mère, côté maternel. La fille d'un homme blanc (hollande) et d'une femme sémite vendu en esclave aux Amériques. Elle aura une fille, revendu des Amériques au Cameroun, où elle sera rachetée par un chef Batouffam (semite bantu Bamiléké). -Elle se maria avec lui et engendra la lignée de ma mère.-Qui se maria avec un Bamiléké ; le 2eme fils du fondateur de Bayangham [TAYOU].

Joseph, Manassé et Juda retrouvent la mémoire

Des erreurs qui provoqueront un réveil mondial -C'est simple, Israël et ses 144 000 ont été répandu sur toute la terre...  Apocalypse et les début des problèmes pour l'ordre mondial et les familles infidèles d'Israël.

Les Semites Bantus ( l'intro - Du Mozambique au Cap vert-Angola-Brésil-Afrique de l'EST-Indes-Moyen Orient, des frères).

[Les Pères sont ceux de Jérémie 44 - Le Sacrifice de Jésus a eu une puissance bien plus grande que l'on ne l'imagine... Une Dispersion volontaire bien difficile à détruire... -Malgré tout -colonisations/génocides/religions/assimilation/dispersion avec destruction d'identité/guerres mondiales/exploitation etc...] IL N Y A rien à faire, le sang de Jésus a déclenché le compte à rebours pour Satan...

Un mouvement il y a 2000 ans, à la mort et résurrection de YAHSHUAH des armées.

[MOZAMBIQUE - TANZANIE - ZANZIBAR] - MO

 

Slave Cost – WILDAH – JUDA – Royaume Israël, FILS DE ZELANDIA et ses Îles (Nouvelle calédonie-Papouasie Nouvelle Guinée, Nouvelle Zélande, Samoa, Nauru, Fidji...)

 

 

https://www.petitfute.com/p150-mozambique/guide-touristique/c32346-histoire.html

 

 

Focus Mozambique - Zone Mozambique, Rwanda, Tanzanie, Kenya etc...

 

 

 

 

Zevulun זְבוּלֻן

ASHER אָשֵׁר -Heureux
Levi לֵוִי

DAN דן

Naphtali נַפְתָּלִי

https://journals.openedition.org/ethnomusicologie/265?lang=en

 

Venant du nord, les migrants bantous se déplacèrent au sud du Zambèze selon deux voies de pénétration séparées par la chaîne de Drakensberg : les Sotho utilisèrent une route intérieure tandis que les Nguni suivirent la côte.

Selon l'habituel processus des peuples entiers en lente marche, les envahisseurs formaient des groupes rassemblant les descendants d'un même ancêtre, lignages ou clans. Lorsqu'un de ces groupes fondés sur la parenté trouvait une région convenant à ses activités, il s'y établissait. Quelques générations plus tard, s'étant multiplié et différencié des autres, il devenait une nouvelle société. Ainsi, à partir de la branche nguni, se constituère [...]

 

-----------------[MOZAMBIQUE]

Les Chopi vivent au sud du Mozambique. Ce peuple pacifique, qui se consacre à l’agriculture, devient depuis le XIXe siècle la victime désignée du pouvoir, notamment en raison de son refus clair de l’acculturation et de la soumission.

Au fil du temps, les Chopi subissent les invasions des Nguni, la colonisation portugaise, le pouvoir marxiste-léniniste et le libéralisme économique. La musique de timbila s’affirme peu à peu comme un moyen privilégié de résistance pacifique. L’identité du groupe, mise à mal par les conflits, trouve dans la musique la force de se redéfinir et de se réaffirmer.

Ce processus de construction identitaire sera renforcé par l’intérêt que lui portent certains ethnomusicologues. On assiste alors à la réappropriation du savoir scientifique la revendication d’une spécificité culturelle : la tradition sera désormais définie selon les critères de l’ethnomusicologie.

On peut aborder la musique de timbila à partir de trois axes différents : la musique, la danse et la poétique.

La dimension orchestrale avait déjà suscité en 1560 l’intérêt du jésuite André Fernandes, lequel passa deux ans chez les Chopi. Depuis, plusieurs écrits attestent de la complexité de cette musique, de sa composition, de la virtuosité de ses musiciens. Selon Hugh Tracey (1970 : 119), il en existerait cinq types : cilanzane ou malanzane (soprano), sange ou sanje (alto), dole ou mbingwe (ténor), debiinda (basse), et gulu ou kulu (double basse). Cependant, lorsqu’il décrit les orchestres, il constate que ceux-ci ne les possèdent jamais tous : les grands ensembles en dénombrent trois ou quatre types, le moins répandu étant le dole car il est difficile à jouer. Margot Dias (1986 : 56) parle aussi de cinq types d’instruments : chilanzanesanjedoledebiinda et chikhulu. Elle mentionne également un sixième timbila ayant existé dans le passé, le mbingwe, qui se situe entre le dole et le debiinda, mais qu’elle n’a jamais vu. Ilídio Rocha (1962), dans son long terrain à Zavala et Homoíne, a aussi vu cinq instruments : chilanzanesanjedoledebiinda et chikhulu ; il nous dit que le mbingwe est un instrument semblable au dole, mais plus facile à jouer.

 

Notre recherche de terrain (1996-2006) ne nous a pas permis de trancher la question. Les groupes de timbila que nous avons rencontrés – à Inhambane, Maputo ou en Afrique du Sud – comportent seulement trois types de xylophones : chilanzanedebiinda et chikhulu, même si les musiciens admettent l’existence d’autres timbila dans le passé.

  • C’est seulement après le Concile Vatican II en 1962 que le timbila en tant qu’instrument commence (...)

La dimension chorégraphique, connue depuis les années 1940 renvoie directement à la rencontre violente et conflictuelle avec les Zoulous au XIXesiècle.

 

Les Chopi ont emprunté à leurs envahisseurs le bouclier en peu de vache, les lances et casse-tête, ainsi que le costume, également en peau de vache (dans le passé aussi en peau de guépard) ornée de plumes d’autruche. Les pas de danse sont aussi d’origine zouloue et la chorégraphie est clairement guerrière. La danse contraste d’une part avec le contenu des poèmes et de l’autre avec la signification de la musique de timbila : cette musique se veut une critique et une affirmation d’indépendance et de différenciation culturelle, alors que la danse montre l’acculturation aux Zoulous et la capacité d’appropriation d’éléments exogènes aux Chopi. Elle leur a toutefois donné une image guerrière au travers de la chorégraphie et des armes utilisées, ce qui lui a valu une certaine stigmatisation de la part des églises, notamment la catholique.

Le troisième axe concerne la poésie, perspective privilégiée dans l’approche identitaire de la musique de timbila. En effet, les principaux chercheurs (H. et A. Tracey, M. Dias, Dide Mungwambe…) associent la musique de timbila au débat interne de la société chopi, aussi bien qu’à la revendication intra-tsonga (face aux Shangana), intra-africaine (face aux Zoulous d’Afrique du Sud) et face au pouvoir exogène représenté par les Portugais.

Les travaux publiés sont en général unilatéraux et non systématiques, probablement parce qu’ils ont été réalisés par des missionnaires (H.-A. Junod 1897 et 1936 ; H.-P. Junod 1936), des administrateurs coloniaux (Rita-Ferreira 1958) ou des anthropologues, dont l’intérêt n’était pas spécialement dirigé vers la musique en tant que manifestation artistique ou qu’expression culturelle.

Timbila et identité -Mozambique -Cap Vert- Brésil etc… ° ASHER ? ° 

[ASHER -LA TRIBU DE JOIE - AURAIT  PRÉSERVÉ SON PANACHE].

Les Chopi sont connus pour avoir plusieurs spécificités culturelles, ainsi qu’une panoplie d’instruments de musique (par exemple les flûtes et les tambours ou l’arc musical) et de nombreuses danses (parmi les plus connues qu’ils partagent avec leurs voisins, on remarque le chigubo, le ngalanga et le makwaela). Des questions se posent : pourquoi les Chopi manifestent-ils leur identité d’abord à travers la musique ? Pourquoi la musique de timbila, à l’exclusion des autres formes musicales ? Et enfin comment ce choix s’est-il opéré ?

Selon les principales études ethnohistoriques sur les Chopi, il s’avère que le territoire chopi, à partir de sa « découverte » par Vasco de Gama au XV esiècle, aurait été un territoire portugais, en théorie seulement ; car, selon H.-A. Junod (1936) et Pellissier (1984), la présence portugaise était alors limitée au littoral du pays. Ce n’est qu’après la chute du dernier royaume indigène du Zoulou Gungunyane, en 1897, que les colons auraient occupé les zones intérieures, parmi lesquelles l’actuelle province d’Inhambane, terre des Chopi. Cela signifie que les indigènes auraient joui d’une indépendance politique et culturelle jusqu’au XIXe siècle et, pour ce qui nous concerne, que les Chopi auraient donc vécu dans le respect de leur modèle politique complètement dépourvu de gouvernement central, organisé autour de petites chefferies autonomes, quoique solidaires entre elles.

En effet, les Chopi constituent un groupe culturel bien particulier reconnu non seulement par les Européens (notamment portugais et hollandais), mais également par leurs voisins tsonga (shangana, ronga, bitonga) et zoulous. Leur particularité résulte sans doute de leur lente adaptation à un milieu écologique où prédomine la forêt, au contraire des peuples voisins habitant la savane. Ce milieu a donc conditionné et homogénéisé l’évolution culturelle des Chopi ; il a forcé les hommes aux travaux sédentaires et domestiques grâce aussi à la terre fertile, au contraire des voisins tsonga dédiés à la chasse de grands herbivores, au commerce et à l’élevage. L’organisation plus centralisée des Tsonga a provoqué des guerres pour le pouvoir, pour la domination des routes commerciales et pour les zones de chasse.

L’homme chopi s’est plutôt renfermé sur lui même et a développé une économie d’autosubsistance ; il est devenu créatif dans la manufacture d’ustensiles, dans l’agriculture et dans toutes les manifestations esthétiques, notamment l’artisanat, la musique et la danse. Le timbila est assurément la forme musicale la plus élaborée et complète, en raison notamment de la complexité de fabrication du xylophone et de la réunion, en une seule activité, de la musique, de la danse et de la poésie. Les répétitions du ngodo occupaient une grande partie du temps libre des musiciens et danseurs, et ce moyen d’expression constituait un facteur important de maintien de l’unité politique au travers de la fonction de critique sociale des poèmes, qui permettait par exemple de dénoncer publiquement l’abus de pouvoir du chef, ou de développer le caractère égalitaire de la société en conditionnant les comportements individuels afin d’obéir aux valeurs préétablies.

Parmi des spécificités identitaires chopi comme le rapport particulier à la culture matérielle, la structure politique décentralisée, le statut émancipé de la femme, l’architecture des huttes, comment expliquer que la musique de timbila ait pris le dessus dans le processus de revendication identitaire ?

DES FAMILLES DE ZABULON DÉPORTÉE ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Rien n’échappe à DIEU

 

Commenter cet article